Santé Naturelle 63

Thérapies Manuelles & Santé Naturelle

Actualités

Du nouveau en 2022…

Bonjour,

A partir de janvier, le Centre Shizuka accueillera désormais une nouvelle personne pour vous accompagner dans tout ce qui touche l’alimentation et la nutrition. Cindy Ribeyre, diététicienne-nutritionniste sera présente au cabinet le lundi matin (et possibilité le samedi matin également) de 8h à 13h pour des consultations diététiques personnalisées.

Cindy vous apporte des solutions adaptées à vos problématiques diverses : pathologies (diabète, cancer, hypertension…), perte de poids, femmes enceintes et/ou allaitantes, dénutrition, végétarisme…

Détentrice d’un diplôme universitaire sur les troubles des conduites alimentaires, elle vous aide à retrouver une relation saine et plaisante avec l’alimentation sans culpabilité.

Passionnée de sport, elle vous accompagne activement durant toute votre préparation sportive (test alimentation à l’effort, troubles digestifs, collation post effort…).

Pour une prise en charge optimale, elle propose un suivi plus renforcé pour ceux qui en ont le plus besoin. Ce suivi se fait via une application gratuite (Alivio) où vous avez un accès personnalisé (courbe de poids, recettes, plan alimentaire, et sa disponibilité à distance 5j/7).

Pour en savoir plus sur elle et sur sa vision de la diététique, nous vous invitons à aller voir son site internet : www.cindy-ribeyre-diet.fr

Vous pouvez d’ores et déjà prendre rendez-vous en ligne avec elle via notre site internet ou cliquant ici : https://www.gorendezvous.com/CentreShizuka

Bonne fin d’année 2021

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Fibromyalgie : la piste des fascias…

Source de l’article : https://nouvelle-page-sante.com/fibromyalgie-la-piste-des-fascias

Souffrir, souffrir tous les jours, mais sans savoir pourquoi, ou sans avoir de réponse claire.

À cette souffrance physique s’en ajoute une autre, encore plus terrible : comme cette souffrance n’est pas reconnue “officiellement”, qu’elle n’a ni cause identifiée ni traitement, il faut faire avec la suspicion. Il faut aussi parfois subir  les moqueries des autres, qui disent, ou laissent entendre, que “c’est dans la tête”.

C’est ce que racontent beaucoup de personnes frappées par la fibromyalgie.

“J’ai longtemps eu le sentiment de n’être pas prise au sérieux par le corps médical et de ce fait j’ai armé ma tête pour résister aux douleurs et fait silence de cette souffrance qui paraissait incomprise de tous”

Sylvie[1]

En septembre 2017, Lady Gaga a expliqué qu’elle annulait une tournée de concerts à cause de sa fibromyalgie. Dans son message posté sur Twitter dans lequel elle révélait souffrir de cette maladie, un message liké 100 000 fois, elle soulignait aussi le poids de l’incompréhension et du dénigrement :

J’ai été déçue de voir les gens sur les réseaux sociaux suggérer que je dramatise les choses, que je m’invente une excuse ou que je joue à la victime pour arrêter une tournée[2]. (…) Si j’utilise le mot souffrir, c’est non seulement parce que les douleurs chroniques et le traumatisme ont changé ma vie, mais parce qu’ils m’empêchent de vivre une vie normale.

La fibromyalgie : un syndrome encore mystérieux

Le syndrome de fibromyalgie (SFM) est désormais reconnu par l’OMS comme une forme particulière, et encore mystérieuse, de rhumatisme.

Le patient ressent des douleurs dans différentes parties du corps, parfois avec la sensation de souffrir PARTOUT, même si le dos est particulièrement touché. Des examens poussés, par exemple des IRM de la colonne vertébrale, ne révèlent pourtant aucun dysfonctionnement mécanique ou inflammatoire.

Pour les malades, avec le temps s’ajoutent souvent aux douleurs chroniques une sensation d’épuisement, des troubles du sommeil, de la mémoire, voire une dépression[3].

Cette affection toucherait entre 1 et 2 % de la population, selon l’OMS, essentiellement des femmes après 40 ans.

Dans bien des cas, les patients font état d’un lien entre le stress émotionnel, le déclenchement de leur maladie et les épisodes de crise. D’où l’image humiliante d’une soi-disant maladie de bonnes femmes excitées qui s’inventent des douleurs somatiques parce qu’elles n’arrivent pas à gérer leur stress.

Des équipes scientifiques proposent aujourd’hui une explication qui fait le lien entre le stress émotionnel et un mécanisme d’activation physique de la douleur dans les zones concernées, notamment au niveau des lombaires.

La douleur ne serait donc pas le reflet de l’imagination des personnes, comme elles se tuent à le répéter.

Fascias : la structure invisible et méconnue de notre corps

Imaginer votre corps. Retirez :

  • le squelette ;
  • les muscles ;
  • les organes ;
  • les nerfs et les vaisseaux sanguins.

Pour faire simple, tout le reste constitue les fascias, c’est-à-dire l’ensemble des tissus conjonctifs qui enveloppent et relient tous ces éléments.

Ils sont composés essentiellement d’eau et de collagène, la même substance que les cartilages.

C’est le docteur Ginevra Liptan, une des rares spécialistes de la fibromyalgie, qui a la première, en 2010, théorisé le lien entre fascias et douleurs chroniques[4].

Constatant que, dans les cas de fibromyalgie, ni les articulations ni les muscles ne présentent de lésions expliquant les douleurs, elle a cherché à expliquer comment les tissus fasciaux pourraient être, non pas forcément la cause, mais en tout cas l’endroit de déclenchement de la douleur.

Démonstration ? Un puzzle avec encore quelques trous

La théorie est la suivante :

  1. Les fascias, contrairement à ce qu’on pensait, ne sont pas des tissus passifs et insensibles. Au contraire : ils seraient richement innervés, et peuvent donc être le siège de douleurs.
  2. Ils présentent la particularité d’être sensibles au stress émotionnel : le stress psychologique peut s’y manifester sous forme de réelles douleurs.
  3. Un fascia “stressé” perd de sa mobilité. Or, comme les fascias sont en communication les uns avec les autres, un fascia qui perd de sa mobilité gêne la mobilité des autres fascias, non seulement connexes, mais potentiellement même à l’autre bout du corps. Cela expliquerait la généralisation des douleurs.

Cette chaîne de causes et d’effets apporterait une explication scientifique à la présence et à la diffusion dans différentes parties du corps de douleurs chroniques liées au stress, caractéristique de la fibromyalgie. Tout n’est pas encore démontrée rigoureusement, mais de nombreux éléments sont déjà établis.

Des tissus très émotifs et plus sensibles à la douleur que les muscles

Les travaux du Dr Siegfried Mense montrent que les terminaisons nerveuses sont très nombreuses au niveau du fascia thoraco-lombaire[5] qui court de la nuque jusqu’aux fessiers. Il a aussi identifié la présence de la substance P (P comme Pain, douleur, en anglais) dans les tissus fasciaux situés à l’extrémité des terminaisons nerveuses en cas de stress.

La substance P est un neurotransmetteur qui sert de médiateur pour l’information de la douleur. Elle est notamment associée à une douleur chronique, persistante et intense.

Par ailleurs, les fascias renferment beaucoup plus de capteurs de mouvement et de récepteurs de la douleur que les muscles et les articulations, ce qui fait du tissu conjonctif le plus grand organe sensoriel du corps humain[6].

Les terminaisons nerveuses présentes dans les fascias ont également la particularité d’être intéroceptives, c’est-à-dire qu’elles servent à la transmission d’éléments sensoriels internes, et non à des sensations extérieures[7]. Les fascias seraient donc les collecteurs de l’information sur l’état de notre métabolisme physique et psychique[8].

Des tissus qui communiquent et interagissent entre eux

En 2011, une étude réalisée à l’Institut de médecine de Boston a comparé la mobilité du fascia thoraco-lombaire chez 50 personnes ne souffrant pas de douleurs chroniques lombaires et chez 71 personnes qui en souffraient[9].

Elle a démontré que chez les personnes souffrant de douleurs chroniques du dos, cette mobilité était réduite de près de 20 %.

Or, cette mobilité est en quelque sorte la raison d’être des fascias, qu’il faut considérer comme l’enveloppe souple et dynamique qui maintient les organes et le squelette en équilibre, la peau n’étant qu’un film protecteur.

Pourquoi cette perte de mobilité ? Parce que les fascias, sous l’effet du stress, produiraient trop de collagène, et deviendraient donc trop rigides.

Or, l’interconnection des fascias, et leur capacité à modifier le comportement d’un fascia qui n’est pas directement sollicité, est maintenant clairement établie[10]. Les fascias se comportent à certains égards comme un tissu unique[11]. Une douleur dans un seul fascia pourrait donc se généraliser dans l’ensemble du corps.

Et les trous dans le puzzle ?

Pourquoi les fascias seraient le lieu où une souffrance psychologique se transformerait en souffrance physique ? Pour l’instant, les seules explications tendent à une description holistique de l’organisme, qui se rapproche de la vision orientale du corps et de l’esprit ne faisant qu’un.

On peut être d’accord ou pas, mais cela ne constitue pas une démonstration scientifique selon les critères traditionnels que notre médecine utilise, avec une cause identifiée et un mécanisme de fonctionnement sur lequel on peut agir.

Il existe déjà des approches thérapeutiques

Cela n’empêche pas de nombreuses personnes souffrant de fibromyalgie, ou de douleurs chroniques du dos, de faire déjà appel à la fasciathérapie, un bouquet de techniques encore assez flou mais qui se développe à vitesse grand V.

Les manipulations fasciales consistent à mobiliser les fascias par des techniques de massages diverses : méthode Cyriax, Rolfing, MTP (Massage transversal profond), relâchement myofascial. Chaque thérapeuthe ou presque a sa propre technique voire sa propre terminologie.

Certaines approches associent des exercices physiques à une discussion avec le patient : MDB (Méthode Danis Bois), pulsologie.

L’acupuncture a également un effet démontré sur les fascias, ce qui pourrait expliquer son efficacité contre la douleur.

P.S. : La question simple que vous pourriez vous poser aujourd’hui ?

Êtes-vous parvenus à localiser l’endroit de votre corps qui réagit le plus sensiblement à vos émotions ? Il mérite une attention toute particulière.

SOURCES : 

[1] https://compare.aphp.fr/participer/temoignages/patients/item/127-sylvie-fibro-magie.html

[2]https://twitter.com/ladygaga/status/909675665846288384?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E909675665846288384&ref_url=https%3A%2F%2F

[3] https://www.ligues-rhumatisme.ch/rhumatismes-de-a-a-z/fibromyalgie

[4] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20006283

[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6767935/

[6] https://www.ligues-rhumatisme.ch/blog/2016/que-sont-les-fascias

[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22852442?dopt=Abstract

[8]https://www.researchgate.net/publication/285980926_Interoception_A_new_correlate_for_intricate_connections_between_fascial_receptors_emotion_and_self_recognition

[9]https://www.researchgate.net/publication/51654116_Reduced_thoracolumbar_fascia_shear_strain_in_human_chronic_low_back_pain

[10] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19118793?dopt=Abstract

[11] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19041975?dopt=Abstract

Source de l’article : https://nouvelle-page-sante.com/fibromyalgie-la-piste-des-fascias/?fbclid=IwAR3ahYZCah9DsnpkLr0TEwzHLvHkpXV5hwVc00DI200J-oMgXW9-QWZ-FvE

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Prenez vous soin de votre muscle ilio-psoas ?

***Amis Cyclistes***

Prenez vous soin de votre muscle ilio-psoas ?

Il se contracte à chaque tour de pédale pour la tirer vers le haut et vous faire pousser plus de watts ! « Nice » ! Le hic c’est que cette contraction se fait non pas à partir d’un état naturel, comme lorsqu’on est debout, mais à partir d’un état raccourci.

Ceci peut créer 2 problèmes  :

  • Le manque de souplesse
  • La fatigue musculaire.

Voilà 2 causes possibles d’instabilité de la colonne lombaire et de la hanche. Ensuite, survient des douleurs à la hanche, au bas du dos, à l’aine… D’autant plus que la posture assise de tous les jours favorise ce raccourcissement. Trop tendu, l’ilio-psoas fait pivoter le bassin vers l’avant, d’où une courbature accentuée du bas du dos, compensée par une courbure inverse du haut du dos.

L’ilio-psoas est l’un des muscles les plus susceptibles de créer des problèmes dans plusieurs sports d’endurance, notamment le cyclisme. On n’y pense pas spontanément, parce qu’on ne le voit pas !

L’ilio-psoas est en fait composé de deux muscles  : l’iliaque et le grand psoas. L’iliaque a comme origine la face intérieure du bassin (partie supérieure de l’os iliaque) et le bord latéral du sacrum. Il s’insère sur le haut du fémur, tout comme le psoas, qui prend son origine sur les corps vertébraux et les disques intervertébraux, de la 12ième vertèbre thoracique à la 5ième vertèbre lombaire.

Le muscle ilio-psoas joue un rôle important dans le pédalage

En synergie avec les muscles ischio-jambiers (arrière de la cuisse) qui fléchissent le genou simultanément, il «  tire  » sur le fémur (os de la cuisse) pour monter la pédale de 6 heures à 12 heures. Ses autres fonctions sont également importantes  : il mobilise et stabilise la hanche et le tronc.

L’ilio-psoas se contracte à chaque tour de manivelle pour la tirer vers le haut, surtout lorsque l’intensité est élevée. Le hic c’est que cette contraction se fait non pas à partir d’un état d’étirement «  naturel  » (comme lorsqu’on est debout), mais à partir d’un état déjà raccourci. C’est pire en pédalant assis qu’en danseuse, surtout quand on baisse le tronc pour plus d’aérodynamisme. Quand la pédale passe à 12 heures, l’ilio-psoas est extrêmement raccourci. La contraction du muscle alors qu’il est si court présente en quelque sorte une contrainte biomécanique.

On craint principalement deux problèmes  :

  • le manque de souplesse (l’ilio-psoas ne revient pas facilement à sa longueur «  naturelle  »),
  • la fatigue musculaire.

Voilà deux causes possibles d’instabilité de la colonne lombaire et de la hanche, et de douleurs à l’aine, à la hanche et au dos. À cela s’ajoute le risque de posture inadéquate dans la vie de tous les jours. Trop tendu, l’ilio-psoas fait pivoter le bassin vers l’avant, d’où une courbature accentuée du bas du dos (lordose), compensée par une courbure inverse du haut du dos (cyphose).

Les principaux signes d’un ilio-psoas problématique sont une douleur en flexion résistée de la hanche, en position d’étirement de ce muscle ou à sa palpation directe. Les principaux sites de douleur sont la hanche, particulièrement sur sa partie avant, et la colonne vertébrale lombaire, à cause de la traction exercée sur les attaches vertébrales.

À noter que les problèmes reliés à l’ilio-psoas manquant de souplesse ne surviennent pas exclusivement sur le vélo. Ce sont les activités demandant un étirement de ce muscle qui révèlent le plus la limitation. Les cyclistes qui font aussi de la course à pied l’auront remarqué  : la raideur dans la région de la hanche due à la contraction intensive et répétée de l’ilio-psoas en position raccourcie pendant le pédalage va limiter la foulée  : la jambe ne va pas aussi loin vers l’arrière qu’on le voudrait, et le bassin demeure pivoté vers l’avant.

Vous pouvez réduire le risque de problèmes dus à l’ilio-psoas en adoptant une position appropriée sur votre vélo, et en étirant régulièrement ce muscle.

Une selle trop basse, trop reculée ou trop inclinée vers l’arrière, un guidon trop avancé ou trop bas  : autant d’éléments qui augmentent la flexion de la hanche, d’où un raccourcissement trop prononcé de l’ilio-psoas.


Voici des exemples d’exercices d’étirement de l’ilio-psoas à effectuer autant que possible tous les jours. Dans chaque cas, faites cinq répétitions d’une trentaine de secondes, entrecoupées de périodes de récupération d’une dizaine de secondes. Contractez légèrement les muscles abdominaux pour vous assurer de ne pas exacerber la lordose lombaire.

L’exercice du chevalier – Placez un genou au sol et posez le pied de l’autre jambe devant vous. Avancez doucement le corps vers l’avant pour sentir l’étirement devant la hanche et la cuisse de la jambe qui est au sol.

L’exercice du grimpeur – Placez un pied sur un banc vous arrivant à mi-cuisse. Avancez le corps vers l’avant pour sentir l’étirement devant la hanche et la cuisse de la jambe qui est au sol.

 


Bref, pour éviter toutes sortes de maux comme des raideurs persistantes ou un manque de flexibilité pouvant précipiter des blessures ou des problèmes de posture, faites régulièrement des exercices d’étirement du muscle ilio-psoas. Et n’augmentez jamais brusquement votre charge d’entraînement (combinaison du volume et de l’intensité de vos sorties). Une progression douce et bien dosée favorise l’adaptation progressive et saine du système locomoteur.

Source : https://nature-humaine.ca/2019/01/ilio-psoas/

 

 

Découvrir la TNC (Technique Neuro-Cutanée)

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Créée au Canada par Stéphane Delalande (lire l’historique ICI), cette Technique Neuro-Cutanée (TNC) crée un engouement terrible au Québec, mais commence juste à s’implanter en France chez quelques très rares thérapeutes ou ostéopathes.

Cécile et Julien ont traversé l’Atlantique pour se former à cette technique et vous la propose maintenant au Centre Shizuka !!

Venez la découvrir… L’essayer c’est l’adopter !!

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Principes

Pour bien fonctionner, chaque articulation et chaque tissu du corps doit bouger correctement selon les lois qui déterminent une saine biomécanique structurelle.

En effet, la vie s’exprime dans notre corps par le mouvement. Donc un bon mouvement, une bonne « respiration » tissulaires conditionnent sa santé.

Plusieurs circonstances négatives dans notre vie peuvent l’altérer. Citons comme exemples des accidents, des faux mouvements, des coups de froid, des postures vicieuses…

Que se passe-t-il alors ? Aussitôt qu’un déséquilibre survient, un neuro-spasme apparaît.

Ce spasme engendre le blocage des tissus mous entraînant » Lire la suite

Equilibre acido-basique : ostéoporose, tendinites et fatigue générale

nutrition

Peut-être avez-vous déjà entendu parler d’équilibre acido-basique ? C’est une notion essentielle au maintien d’un état de santé optimale et en grande partie liée à la qualité de votre alimentation, en particulier pour prévenir l’ostéoporose, les troubles ostéo-tendineux, les inflammations et la fatigue chronique. Un excès d’acidité tissulaire durable oblige en effet l’organisme à puiser dans ses réserves alcalines, notamment osseuses. Lorsqu’il perdure, un tel mécanisme favorise donc la déminéralisation, voire l’ostéoporose et la perte de minéraux essentiels (Calcium, Magnésium, Potassium). Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine d’un excès d’acidité tissulaire, à commencer par vos choix alimentaires. Une alimentation riche en sel de table, aliments salés (pains, fromages, charcuterie et surtout plats industriels), sodas, protéines animales et à l’inverse pauvre en fruits et légumes contenant naturellement des sels alcalinisants pour l’organisme, est synonyme de déséquilbre de la balance acido-basique. Une telle alimentation s’éloigne fortement de celle de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs il y a plus de 10 000 ans alors que notre capital génétique a lui, très peu évolué (moins de 0,01%).

Dans l’optique de retrouver une alimentation respectueuse de notre organisme, il est donc urgent, non pas de redevenir chasseur-cueilleur bien entendu, mais simplement de redonner une place de choix aux aliments, brut et non transformés dans vos assiettes.

Voici les 10 points à retenir pour retrouver votre vitalité grâce à un équilibre acido-basique optimal :

Lisez la suite ici.

Les bienfaits de la sève de bouleau

Bouleau

Le printemps est le moment propice au nettoyage de l’organisme, c’est ce que permet la sève de bouleau dont les propriétés sont :

la purification de l’organisme dont elle draine toxines et déchets organiques (cholestérol, acide urique) en agissant notamment sur les couples reins/vessie et foie/vésicule biliaire et en limitant les rétentions d’eau et de cellulite.

une action fortifiante en régénérant l’organisme grâce aux nombreux minéraux et oligo-éléments essentiels dont elle recèle quand elle est fraîche (calcium, magnésium, potassium, sodium, cuivre, fer, manganèse, zinc, silicium, sélénium, lithium …) dont les effets reminéralisants sont favorisés par la présence d’acides aminés (dont 8 essentiels), d’enzymes, de flavonoïdes, d’hormones végétales, et d’antioxydants …

Ses effets : un coup de jeunesse viscérale, peau et cheveux éclatants, assainissement du foie, douleurs articulaires soulagées, troubles urinaires améliorés, système immunitaire renforcé, et d’une manière générale, énergie et vitalité.

Pour en savoir plus, voici un très bel article !

Les jus qui guérissent …

Depuis vingt ans, une véritable folie s’est emparée du mouvement bio aux Etats-Unis mais, curieusement, elle n’a toujours pas vraiment traversé l’océan : la folie du « juicing ».

Le « juicing » vient du mot « juice », jus, et consiste tout simplement à fabriquer chez soi des jus frais à partir de légumes et fruits crus, consommés quotidiennement, voire plusieurs fois par jour pour les personnes cherchant à obtenir un effet particulier sur leur santé.

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Prévenir le cancer et les maladies chroniques

Un cancer sur deux est lié à de mauvaises habitudes alimentaires.

Pourtant, il faut bien manger ! « Bien » dans le sens où le plaisir de manger doit rester intact et ne pas nous rendre dingue. « Bien » dans le sens où l’alimentation est l’un des meilleurs moyens de prévention du cancer et des maladies de civilisation.

Les cas de cancers dans le monde devraient augmenter de 75% d’ici à 2030, selon une étude publiée en 2012 dans « The Lancet Oncology ». Or 50% des cancers déjà sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. C’est un minimum sachant que c’est l’Académie de Médecine qui le dit…

La place centrale de notre rapport à l’alimentation dans le développement des cancers ne fait aucun doute. C’est ce que martèlent depuis des années quelques experts indépendants comme le Pr Henri Joyeux. Ce cancérologue pionnier de la prévention primaire par l’alimentation l’a dit bien avant feu l’excellent David Servan-Schreiber.
 

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